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vendredi 12 juin 2009

ENFANTS, AUTISME ET VACCINATIONS


Immunité mortelle



Enquête sur la façon dont le gouvernement étouffe le scandale sur les liens entre l’autisme et l’intoxication au mercure
Par ROBERT F. KENNEDY JR.


Une réunion top-secrète

Les fonctionnaires fédéraux et les représentants de l’industrie s’étaient réunis pour discuter d’une nouvelle étude inquiétante qui posait des questions alarmantes au sujet de la sûreté d’une grande quantité de vaccins courants administrés aux nourrissons et aux jeunes enfants. Selon un épidémiologiste du CDC appelé Tom Verstraeten, qui avait analysé la gigantesque base de données de l’agence contenant les dossiers médicaux de 100.000 enfants, un conservateur à base de mercure dans les vaccins – le thiomersal – semblait être responsable d’une augmentation massive de l’autisme et d’une quantité d’autres troubles neurologiques chez enfants. “j’ai été littéralement assommé par ce que j’ai vu,” a dit Verstraeten aux personnes rassemblées a Simpsonwood, citant le nombre stupéfiant d’études précédentes qui indiquent un lien entre thiomersal et retard de langage, déficit d’attention, hyperactivité et autisme. Depuis 1991, quand le CDC et la FDA ont recommandé que trois vaccins supplémentaires contenant ce conservateur soient donnés aux enfants extrêmement jeunes — dans un cas, dans des heures suivant la naissance — le nombre estimé de cas d’autisme a augmenté de 15 fois, passant de un pour 2.500 enfants à un pour 166 enfants. Même pour des scientifiques et des médecins accoutumés à se confronter aux questions touchant la vie et la mort, les résultats étaient effrayants. “Vous pouvez jouer avec ce tout que vous voulez,” a dit au groupe le Dr. Bill Weil, un conseiller pour l’Académie Américaine de Pédiatrie. Les résultats “sont statistiquement significatifs.” Dr. Richard Johnston, un immunologiste et pédiatre de l’Université du Colorado dont le petit-fils était né tôt le matin du premier jour de la réunion, était bien plus inquiet. “Mon sentiment profond ?” a-t-il dit “pardonnez ce commentaire personnel — je ne veux pas que mon petit-fils reçoive une injection d’un vaccin contenant du thiomersal - jusqu’à ce que nous sachions mieux ce qu’il en est.”


« Les résultats de la recherche doivent être manipulés »


Mais au lieu de prendre des mesures immédiates pour alerter le public et pour retirer le thiomersal des vaccins, les fonctionnaires et les cadres réunis à Simpsonwood ont passé la plupart des deux jours suivants à discuter comment dissimuler ces données qui pourraient leur porter préjudice. Selon des transcriptions obtenues grâce a la Loi sur la liberté de l’information « Freedom of Information Act » , nombreux sont ceux lors de la réunion qui ont été préoccupés par la façon dont les révélations préjudiciables au sujet du thiomersal affecteraient les résultats globaux de l’industrie des vaccins Nous sommes en mauvaise position du point de vue de la défense dans n’importe quel procès,” a dit le Dr. Robert Brent, un pédiatre à l’Hôpital Alfred I. duPont pour enfants du Delaware. “Ce sera une ressource pour les avocats des plaignants, très occupés dans ce pays.” Le Dr. Bob Chen, chef de la sécurité des vaccins pour le CDC, a exprimé son soulagement étant donné la sensibilité de l’information, nous avons pu la garder hors des mains, disons, moins responsables.” Dr. John Clements, conseiller en vaccins à l’Organisation Mondiale de la Santé, a déclaré catégoriquement que l’étude “n’aurait pas du être faite du tout” et a averti que les résultats “seront repris par d’autres et employés de façon indépendante de la volonté de ce groupe. Les résultats de la recherche doivent être manipulés.”

En fait, le gouvernement s’est avéré bien plus à même de manipuler les dégâts que de protéger la santé des enfants. Le CDC a payé l’Institut de la Médecine pour entreprendre une nouvelle étude afin de blanchir le thiomersal de ses risques, passant commande auprès des chercheurs pour qu’ils “éliminent” le lien entre le produit chimique et l’autisme. Il n’a pas diffusé les résultats de Verstraeten, bien qu’ils aient été prévus pour publication immédiate, et il a indiqué à d’autres scientifiques que ses données originales “avaient été perdues” et ne pourraient pas être reproduites. Et pour contrecarrer la Loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), il a remis sa gigantesque base de données et de dossiers médicaux sur les vaccins à une entreprise privée, la déclarant interdite aux chercheurs. Avant que Verstraeten édite finalement son étude en 2003, il était allé travailler pour GlaxoSmithKline et avait retouché ses données pour enterrer le lien entre thiomersal et autisme. Les fabricants de vaccins avaient déjà commencé à supprimer progressivement le thiomersal des vaccins donnés aux enfants américains jusqu’à l’année dernière. Le CDC et la FDA les ont aidés, achetant les vaccins contaminés pour l’exportation vers les pays en voie de développement et permettant à des compagnies pharmaceutiques de continuer à employer le conservateur dans quelques vaccins américains – y compris plusieurs vaccins pédiatriques contre la grippe et des rappels de tétanos donnés d’habitude aux enfants de onze ans.


Quand les lois contre le bioterrorisme protègent l’industrie pharmaceutique des poursuites


Les entreprises pharmaceutiques obtiennent également l’aide des législateurs puissants à Washington. Le leader de la majorité sénatoriale Bill Frist, qui a reçu $873.000 de contributions de l’industrie pharmaceutique, avait travaillé pour protéger les fabricants de vaccins de toute responsabilité dans 4.200 procès qui ont été intentés par les parents des enfants touchés. À cinq occasions différentes, Frist a essayé de bloquer tous les documents du gouvernement liés aux vaccins—y compris les transcriptions de Simpsonwood — et de protéger Eli Lilly, le développeur du thiomersal, de toute citation à comparaître comme témoin En 2002, le jour après que Frist ait discrètement fait passer un amendement connu sous le nom de “acte de protection d’Eli Lilly” dans un projet de loi sur la sécurité intérieure , la compagnie a contribué pour $10.000 à sa campagne et a acheté 5.000 exemplaires de son livre sur le bioterrorisme. La mesure a été abrogée par le Congrès en 2003 — mais au début de cette année, Frist a glissé une autre disposition dans un projet de loi anti-terrorisme qui refuserait la compensation aux enfants souffrant de lésions cérébrales liées aux vaccins. “Les procès sont d’une telle taille qu’ils pourraient mettre les producteurs de vaccins hors-jeu et limiter notre capacité à faire face à une attaque biologique par des terroristes,” * dit Andy Olsen, un conseiller juridique de Frist.

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Expovaccins vous conseille à ce sujet de visionner le film de science fiction (qui semble de plus en plus quitter sa catégorie pour celle du monde réel) intitulé "V pour Vendetta" qui raconte notamment comment les autorités dictatoriales s'allient aux firmes pharmaceutiques pour écouler un vaccin au prétexte d'une attaque de bioterrorisme qui a été créée de toute pièce par les autorités, cette façon de faire étant évidemment bien commode pour faire taire les opposants au régime et semer panique et confusion! En somme, les vrais terroristes peuvent se révéler être les autorités que l'on croyait dur comme fer agir "pour le bien de tous"....



Incapacité de la FDA à réagir

Même chez les conservateurs beaucoup sont choqués par les efforts du gouvernement pour dissimuler les dangers du thiomersal. Le Représentant Dan Burton, un républicain de l’Indiana, a contrôlé une recherche de trois ans sur le thiomersal après que son petit-fils ait été diagnostiqué comme autiste. “Le thiomersal utilisé comme conservateur dans les vaccins est directement lié à l’épidémie d’autisme,” a conclu son « House Government Reform Commitee » dans son rapport final. “Cette épidémie aurait plus que probablement pu être empêchée ou écourtée si la FDA ne s’était pas endormie sur l’interrupteur en ce qui concerne le manque de données concernant l’innocuité du thiomersal injecté, une neurotoxine connue.” La FDA et d’autres agences de santé publique n’ont pas su réagir, a ajouté le comité, au-delà d’une malversation institutionnelle pour se protéger eux-mêmes” et d’un protectionnisme mal placé en faveur de l’industrie pharmaceutique.”


« J’ai été conduit à la polémique a contrecoeur »


L’histoire de la façon dont les agences de santé gouvernementales se sont entendues avec « Big Pharma » pour cacher les risques du thiomersal au public est une étude de cas qui vous fige le sang, à cause de l’arrogance, de la puissance et de l’avarice institutionnelles. J’ai été conduit à la polémique seulement à contre-coeur. En tant qu'avocat et environnementaliste qui a passé des années à travailler sur les questions de la toxicité du mercure, j’ai fréquemment rencontré des mères d’enfants autistes qui étaient absolument convaincues que leurs gosses étaient atteints à cause des vaccins. En privé, j’étais sceptique.


Plus de 40.000 nouveaux cas d’autisme sont diagnostiqués chaque année


J’ai douté que l’autisme puisse être dû à une seule cause, et j’ai certainement compris la nécessité du gouvernement de rassurer des parents sur l’innocuité des vaccinations. L’éradication des maladies mortelles de l’enfance dépend de cela. J’étais plutôt d’accord avec des sceptiques comme le député Henry Waxman, un démocrate de Californie, qui a critiqué ses collègues du House Government Reform Committee pour avoir sauté à des conclusions sur l’autisme et les vaccinations. “Pourquoi effrayons-nous des gens au sujet des vaccinations,” a précisé Waxman à ceux qui l’écoutaient, “avant que nous connaissions les faits avec certitude ?”


C’est seulement après avoir lu les transcriptions de Simpsonwood, étudié les plus importantes recherches scientifiques et parlé avec plusieurs des éminentes autorités de la nation sur le mercure que je suis devenu convaincu qu’il y a vraiment un lien entre le thimérosal et l’épidémie de troubles neurologiques chez les enfants. Cinq de mes propres enfants sont des membres de la génération du thiomersal — ceux nés entre 1989 et 2003 —qui ont reçu des fortes doses de mercure en provenance des vaccins. “Les classes élémentaires sont submergées d’enfants qui ont des symptômes de troubles neurologiques ou du système immunitaire,” a dit Patti White, une infirmière d’école, au House Government Reform Committee en 1999. « Les vaccins sont censés nous rendre en meilleure santé; cependant, depuis vingt-cinq années de soins je n’ai jamais vu tant de gosses malades, abîmés. Quelque chose de très, très mauvais arrive à nos enfants.» Plus de 500.000 enfants souffrent actuellement d’autisme, et les pédiatres diagnostiquent plus de 40.000 nouveaux cas chaque année. La maladie était inconnue jusqu’en 1943, quand elle a été identifiée et diagnostiquée parmi onze enfants nés dans les mois suivant l’ajout de thiomersal pour la première fois aux vaccins pour bébés en 1931.

En 1977, une étude russe a constaté que les adultes exposés à des concentrations bien plus faibles d’éthyl-mercure que celles données aux enfants américains souffraient encore de lésions cérébrales des années après. La Russie a interdit le thiomersal il y a vingt ans dans les vaccins pour enfants et le Danemark, l’Autriche, le Japon, la Grande-Bretagne et tous les pays scandinaves ont depuis lors suivi le mouvement.

Vous ne pourriez pas même construire une étude qui montre que l’exposition au thiomersal est inoffensive,” dit Haley, qui dirige le département de chimie de l’Université du Kentucky. “Il est simplement sacrément trop toxique. Si vous injectez du thiomersal dans un animal, son cerveau va tomber malade. Si vous l'appliquez sur un tissu vivant, les cellules meurent. Si vous le mettez dans une boîte de Pétri, la culture meurt. Sachant cela, il serait choquant que l’on puisse l’injecter à un enfant en bas âge sans causer de dégâts.”
Des documents internes indiquent qu’ Eli Lilly, qui a été le premier à développer le thiomersal, savait dès le début que son produit pourrait causer des dommages — et même la mort — chez les animaux et les humains. En 1930, la compagnie a testé le thiomersal en l’administrant à vingt-deux patients présentant une méningite terminale, qui sont tous morts dans les semaines suivant l’injection — un fait que Lilly n’a pas pris la peine de rapporter dans son étude déclarant le thiomersal inoffensif. En 1935, les chercheurs d’un autre fabricant de vaccins, Pittman-Moore, ont averti Lilly que ses affirmations au sujet de la sûreté du thiomersal “n’étaient pas vérifiées par les nôtres.” La moitié des chiens de Pittman injectés avec les vaccins contenant du thiomersal est devenue malade, ce qui a conduit les principaux chercheurs à déclarer là-bas le conservateur « non satisfaisant comme sérum prévu pour être utilisé chez les chiens ».

L’éthyl-mercure est en fait plus toxique pour le cerveau en développement que le méthyl-mercure

L'AUTISME ET LA VACCINATION

L'autisme est devenu la nouvelle épidémie du siècle.Comment une maladie que certains chercheurs prétendent génétique peut-elle s'être multipliée par 12 en dix ans dans les pays développés ? La maladie a besoin d'un détonateur, et les vaccins peuvent jouer ce rôle dans l'explosion de la maladie.

De très nombreux médecins, virologistes et immunologistes internationaux. Ils sont certains que de nombreux cas relèvent essentiellement de la vaccination intensive des enfants et que cela va empirer lorsque les centaines de milliers d'enfants deviendront adultes.


L'autisme et la vaccination ROR

L'autisme et la vaccination ROR - La santé en question. ... Le lien entre le vaccin à base de mercure et l'autisme est donc plus clair qu'entre le tabac


Des associations américaines représentant près de 5000 familles dont les enfants sont devenus autistes après avoir, semble-t-il, reçu une vaccination ROR (rougeole, oreillons et rubéole) ont porté l'affaire en justice sous le motif qu'il y avait un lien plausible de cause à effet entre l'autisme et ces vaccins pédiatriques.

Depuis la fin des années 1990, l'autisme fait coulé beaucoup d'encre et alimente une importante littérature, tant livresque que sur Internet, et de plus en plus polémique.

Jusqu'à présent les chercheurs ont toujours considéré que l'autisme était une maladie génétique, pour preuve le lancement de l'Autism Genome Projet, AGP en 2002 et dont les premiers résultats ont été publiés en 2007.

En 2006, l'institut Pasteur a d'ailleurs découvert un gène responsable d'une forme d'autisme, le gène SHANK3 qui se trouve dans la zone du chromosome 22q13 (Cf Nature Genetics, Dec 2006). Son altération provoque des mutations sur deux gènes parmi les 931 gènes dont est constitué le chromosome sexuel X. Ces mutations génétiques ont un impact sur des protéines, les neuroligines, qui interviennent dans la formation des synapes, les zones de communication entre les neurones.

Si l'origine génétique de la maladie est validée par de nombreuses études et découvertes, on constate toutefois ces dernières années une sorte d'épidémie d'autisme.


Lancet, février 1998

D'où vient cette hypothèse ? Il faut remonter à 1998 où l'on trouve dans la revue médicale anglaise The Lancet (Wakefield et al., 28 Fév 1998, pp351(9103):637-41) la description d’une série de 12 enfants âgés de 9 à 12 ans adressés au Dr Wakefield, un gastroentérologue londonien, pour investigation sur des symptômes gastro-intestinaux avec syndrome neurologique régressif (autisme). Les troubles auraient commencé peu après (entre 1-2 jours et 1-2 semaines) la vaccination ROR.

Après quelques incertitudes sur l'origine de l'infection et la publication de nombreux travaux sur la question, quelques années plus tard de nouveau faisceau d'indices semblaient indiquer qu'il existerait une corrélation entre la vaccination ROR et un nouveau type d’autisme associant des troubles digestifs puis un autisme régressif.

Ce document prétend notamment que : "le risque d’autisme est le même chez les enfants qui ont été vaccinés avec le vaccin ROR avant qu’apparaissent l’autisme et chez ceux dont le diagnostic a été posé avant qu’ils soient vaccinés". Mais dans ce cas, comment expliquer l'apparition soudaine de la maladie chez des enfants de 9 à 12 ans ? Preuve de leur partialité et de leur manque de transparence, la question n'est même pas soulevée dans leur dossier !

Du mercure dans les vaccins ROR

Partout en occident, l'information à ce sujet passe très mal entre le ministère de la Santé et la population. Aux Etats-Unis par exemple, suite à la Loi sur la Liberté d'accès à l'information (FOIA), on apprit que les Centers for Disease Control (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et les principaux fabricants de vaccins avaient sciemment menti avec l'approbation des autorités et tenus des colloques où l'embargo avait été décrété sur toutes les informations discutées au cours des réunions !


Grâce au FOIA, on apprit que ces experts avaient oublié de dire que jusqu'en 2005, les vaccins contenaient du Thimerosal par exemple qui est un préservatif (antisceptique) contenant 49% de mercure ! Vous trouverez plus de détails dans cette longue page rédigée par l'écrivain environnementaliste Robert F. Kennedy.

En parallèle, on a démontré que le mercure présente 27 fois plus de chance de développer l'autisme. Le lien entre le vaccin à base de mercure et l'autisme est donc plus clair qu'entre le tabac et le cancer ! Qui oserait encore le nier ?

Donc, malgré l'avis négatif de certains chercheurs, on peut en déduire qu'il y aurait bien un lien de cause à effet entre l'absorption de Thimerosal et l'autisme contracté par les enfants ayant reçu le vaccin ROR. Sinon, comment allez-vous expliquer à ces parents l'autisme soudain dont fut victime leur enfant juste après avoir été vacciné ?


Vacciner c'est polluer, affaiblir, contaminer, empoisonner, tuer à petit feu ....

Donald Rumsfeld détient 15 milions $ d'actions du TAMIFLU





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PARTIE 2
TAMIFLU


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